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Règle de saint Benoît

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CONNAITRE L'HISTOIRE
DE L'ABBAYE

Parler d'un monastère, c'est parler de son histoire. Histoire banale, celle de tout le monde, dans ce climat, à ce moment des siècles et dans la toile que tissent les lois de ce pays, lois contraignantes mais indispensables : les moines de ce monastère ne sont pas une communauté fermée, comme si, vivant loin des autres, ils pouvaient se suffire. Mais, si banale soit-elle, l'histoire d'un monastère est évoquée, dans l'espoir de laisser transparaître le mystère qui s'y cache, humain, divin : ces hommes, ces femmes cherchent Dieu.

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Jean-Baptiste Muard

Le père Jean-Baptiste Muard

Jean-Baptiste Muard, né en 1809, devient prêtre en 1834, au moment où l'église évangélise à nouveau la France. Muard y participe, comme curé d'abord, puis à partir de Pontigny avec quelques prêtres du diocèse de Sens. Une réussite, dit-on. Non, selon Muard : la parole des missionnaires ne suffit plus à convertir, il faut l'exemple irréfutable d'une vie, pauvre et priante, laborieuse et silencieuse, désintéressée. En 1850, ce sera la Pierre-qui-Vire où Jean-Baptiste Muard meurt dès 1854. En 1859 ses disciples deviennent officiellement Bénédictins, suivant à leur manière la Règle de saint Benoît.

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Bernard Moreau

Le père Bernard Moreau

Le père Bernard Moreau est nommé supérieur par l'archevêque de Sens en 1854. Quand Rome refuse certains points jugés impraticables des Constitutions du père Muard, le père Bernard Moreau doit convaincre la communauté qu'entrer dans l'ordre bénédictin n'est pas trahir leur fondateur.

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Etienne Denis

Le père Etienne Denis

Le père Etienne Denis accepte l'abbatiat, mais non sans peine et justifiant sa réticence par fidélité au père Muard. Il veille surtout sur cette nécessaire fidélité quand la Pierre-qui-Vire est obligée de se réfugier en Irlande, en 1880, puis en Angleterre, à Buckfast, Devon, en 1882, et encore à Kain-la-Tombe en Belgique, près de Tournai, en 1901.

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Léandre Lemoine

Le père Léandre Lemoine

Le père Léandre Lemoine devient abbé en 1904. Homme de paix, au superlatif, dit-on. Il sait donner aux monastères de la province française, dont il est le Visiteur, le difficile équilibre habituel aux monastères, d'autonomie de chaque maison dans une réelle interdépendance.

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Fulbert Glories

Le père Fulbert Gloriès

En 1922, la Pierre-qui-Vire se choisit pour abbé un moine d'En Calcat, le père Fulbert Gloriès qui, en vingt-six ans, redonne pleine vie à une communauté épuisée par les exils. Il s'attache à donner aux célébrations liturgiques une ampleur, une dignité, voire un certain faste, pour la plus grande gloire de Dieu.

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Placide de Roton

Le père Placide de Roton

Le père Placide de Roton est élu en 1949 mais décède accidentellement en 1952, peu après une longue visite des fondations du Viêt Nam dont il avait été l'inspirateur. Le cœur de sa vie spirituelle était l'oraison, méditation silencieuse de l'amour de Dieu, de la personne du Christ, du mystère de la trinité.

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Denis Huerre

Le père Denis Huerre

Quelques mois après son retour de cinq ans de captivité en 1945 le père Denis entre à la Pierre-qui-Vire. Né à Paris en 1915 il avait fait des études d'histoire qu'il poursuivit en même temps que sa formation théologique. Le père abbé Placide lui confia la formation des jeunes frères, et en 1952 il est choisi comme supérieur de la communauté. Il anticipa le concile Vatican II ce qui permit à la communauté de vivre paisiblement et heureusement les évolutions nécessaires : les frères convers obtenaient le statut de moines à part entière, la liturgie se célébrait en conformité avec les nouvelles orientations. En 1978 il laissa sa charge et fut élu, deux ans après, comme président de la Congrégation de Subiaco. Revenu au monastère en 1988, il continue de vivre parmi ses frères tout en rendant de multiples services à l'extérieur - retraites, conférences - et en publiant des articles sur la spiritualité monastique.

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Damase Duvilier

Le père Damase Duvilier

Élu abbé en 1978, le père Damase guide la communauté pendant vingt-trois ans. Originaire de Tourcoing où il naquit en 1938, après une formation technique, il entre au monastère où il eut plusieurs responsabilités. Durant son abbatiat est fondé le monastère de Saint-Benoît-de-Chauveroche dans le Territoire de Belfort, où cinq frères sont envoyés. Au début des années quatre-vingt-dix sont entreprises la rénovation et la construction des bâtiments pour mieux répondre aux besoins de la bibliothèque et aux exigences sanitaires. De 2003 à 2011 le père Damase se mit à la disposition du monastère de Bouaké en Côte-d'Ivoire où il est économe puis supérieur. Il est de nouveau à la Pierre-qui-Vire depuis octobre 2011.

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Luc Cornuau

Le Père Luc Cornuau

En janvier 2002 la communauté demande au père Luc d'être son abbé. Né en 1963 à Courtalain, Eure-et-Loir, il fit à la suite de ses études secondaires, deux ans de séminaire à Orléans, puis entre à la Pierre-qui-Vire. Après sa formation théologique en France et à Rome, il fut nommé responsable des études et maître des novices de 1997 à 2001.

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Bâtiment

La Pierre-qui-Vire. Avant d'être le nom d'un monastère depuis 1850, c'est un lieu-dit, d'accès difficile par de simples chemins de débardage, sans âme qui vive. Grand silence de tout, sauf d'une rivière devenue parfois torrent. Qu'avait, pareil endroit, pour qu'on désire y vivre, caché et fraternel ?

Un homme s'y décide. Né en 1809, il connaîtra 1815, 1830, 1848, 1850, disons que, familier des révolutions, il a connu l'enchaînement des efforts successifs où la France se cherche un nouvel équilibre politique. Cet homme du Tonnerrois s'appelle Jean-Baptiste Muard qui, lui aussi, va vivre une succession d'étapes, rapides, surprenantes, mais toutes décidées dans une visée religieuse précise : comment rendre au peuple la foi chrétienne ? Il devient prêtre en 1834, curé en campagne, puis en ville, il est vite connu et accepté comme prédicateur permanent. Aidé de quelques prêtres qu'il rassemble dans ce qui reste de l'abbaye de Pontigny, il semble avoir trouvé son lieu et sa manière. Nullement, car, à l'en croire, il faut vivre autrement. Comme partout, l'incrédulité gagne les campagnes, et le clergé qui, alors, est rétribué par l'État, manquerait peut-être, étant fonctionnaire, de liberté dans son ministère. Pour Muard, les témoins de l'Évangile gagneraient beaucoup à vivre plus simplement, à travailler pour gagner leur vie, à fuir toute carrière.

La Pierre-qui-Vire va naître de cette idée. Prudemment. Une telle vie suppose des compagnons, un code vie, disons une Règle, un lieu, et l'abbé Muard n'a rien de tel. Enquêtes, voyages, retraites, tout s'enchaîne à bonne allure. Tandis que l'insécurité augmente, mais il n'en a pas souci, il part pour Rome avec deux compagnons, y cherche sans le trouver un lieu d'accueil, part pour Subiaco où un vieil abbé lui fait connaître la Règle de saint Benoît. Il lit et l'adopte : elle parle de prière, de retrait silencieux, de pauvreté et de travail manuel, de vie fraternelle et d'accueil.

Le Pape Pie IX a fui au royaume de Naples, l'abbé Muard le retrouve à Gaète, reçoit ses encouragements, puis juge prudent de rentrer en France. Par hasard, il frappe à la porte d'un monastère cistercien, Aiguebelle, dont il adopte plus que des coutumes, un esprit. C'est là qu'il a rassemblé les quatre premiers compagnons qui, avec lui, quittent Aiguebelle pour commencer le 2 juillet 1850 leur vie pauvre, humble et mortifiée. Tel était le programme, telle est leur vie. Elle se fait quotidienne, avec ses grâces et ses âpretés, tout est à construire, une baraque d'abord, et surtout une communauté fraternelle. Montalembert, venu de La Roche-en-Brenil, s'émerveille, il en parle à l'évêque d'Orléans qui en parle à... Dans le diocèse de Sens, les doutes font place à la bienveillance et plus encore quand, quatre ans à peine après l'arrivée de ces nouveaux moines, le père Muard meurt.

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Entrée dans l'ordre bénédictin

A la mort du père Muard, en 1854, la Pierre-qui-Vire suit la Règle de saint Benoît mais n'appartient à aucun ordre monastique. Situation imprécise, qui cesse en 1859, sur le conseil du pape Pie IX désireux que, au lieu de « virer » ce nouveau monastère « vive » mieux. La Pierre-qui-Vire, où continue de se présenter un nombre surprenant de postulants, prêtres ou laïcs, entre alors dans une réforme tentée en Italie sous le nom de Congrégation cassinaise de la primitive observance, avec une pratique de la pauvreté spécialement soulignée. La Pierre-qui-Vire, sans renoncer à l'influence cistercienne d'Aiguebelle - travail manuel, silence -, devient officiellement un monastère bénédictin. Dès 1863, cette réforme italienne, encouragée par Pie IX, compte plusieurs provinces, et celle dite française ne cessera de compter de nouveaux monastères, Saint-Benoît-sur-Loire, Landévennec, Belloc, En Calcat, Tournay, Chauveroche.

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Ecole

Pourquoi une école, quelle école ?

Après la guerre de 1914-1918, au retour des expulsions, la communauté demanda un supérieur à l'abbaye d'En Calcat qui envoya le père Fulbert Gloriès. Dans la mouvance de sa communauté ce dernier avait un souci très grand de célébrer une belle liturgie.Ecole Il eut l'idée qu'elle serait encore plus belle avec la présence d'enfants qui pourraient être acolytes, thuriféraires, porte-croix, porte-crosse, voire chantres. Il pensa donc à construire une école. Certains élèves entrèrent tout normalement au noviciat à la fin de leurs études secondaires.
L'école a été fermée au moment où les programmes scolaires se sont diversifiés et il devenait très difficile de trouver des professeurs qui acceptent de venir dans un lieu si retiré.

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Achat de la ferme

Achat de la ferme

Dans les années trente la communauté n'avait pas une activité économique importante. La mise en vente de la ferme mitoyenne du monastère fut une opportunité qui permit de développer des cultures et un élevage permettant de nourrir la communauté. Puis frère Jean-Marc, ingénieur agronome, tenta la culture de germes de pomme de terre. L'expérience ne réussit pas et la ferme pris une forme plus classique d'élevage de vaches laitières.

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Presse Presse

En même temps que naissaient les éditions Zodiaque, une bienfaitrice fit un don important souhaitant qu'il serve à la diffusion de la culture par le biais d'une imprimerie. Les frères achetèrent donc une presse typo et embauchèrent des professionnels qui leur apprirent le métier. Dans les années soixante une trentaine de frères collaborait à l'impression des livres de Zodiaque.

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les éditions ZodiaqueLes éditions Zodiaque

Le père Angelico Surchamp, artiste peintre, publia un livret sur le rapprochement de l'art roman avec l'art contemporain. Puis vint une monographie sur certaines églises romanes de Bourgogne, Saulieu, Autun. L'abbé Grivot, curé d'Autun, lui-même passionné d'art roman, proposa de rassembler, en les étoffant, les éditions Zodiaqueces publications successives. C'est ainsi que parut le premier volume de Bourgogne romane, qui connut huit rééditions sur plus de quarante ans et donna le départ à la collection la nuit des temps, elle-même suivie d'autres, le tout formant les éditions Zodiaque.


Le père Angelico. L'atelier photo.

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hydro-électricité

les turbines

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Passage de la ferme à l'agriculture biologique

Passage de la ferme à l'agriculture biologique

Au début des années soixante le frère Anschaire voulait développer la rentabilité de l'exploitation. En collaboration avec l'INRA fut mis en place tout un protocole d'essai de produits chimiques fertilisants. En quelques années le résultat fut catastrophique. Le troupeau devint très vite malade, la production de lait baissa de moitié, à tel point qu'il fut envisagé de le supprimer et de repartir à zéro. La ferme n'ayant pas les moyens d'acheter un nouveau troupeau on se cantonna à arrêter tous les produits chimiques. La qualité du foin redevint tout à fait normale, le troupeau retrouva la santé, la production retrouva son niveau initial. La ferme fut la première de Bourgogne à pratiquer l'agriculture biologique.

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La première statue de la Vierge sur la Pierre-qui-Vire

 





La première statue de la Vierge sur la Pierre-qui-Vire

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La Pierre-qui-Vire en 1856La Pierre-qui-Vire en 1856

 
La Pierre-qui-Vire en 1856 et le chantier de l'église (1864-1871)

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La Pierre-qui-Vire en 1866

 









La Pierre-qui-Vire en 1866

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La Pierre-qui-Vire en 1904
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La Pierre-qui-Vire en 1937La Pierre-qui-Vire en 1937

 


Elèves de l'école au pied du dolmen.

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La Pierre-qui-Vire en 1951La Pierre-qui-Vire en 1951

 
La Pierre-qui-Vire en 1954. Construction de l'hôtellerie et de la porterie.

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La Pierre-qui-Vire en 1951La Pierre-qui-Vire en 1951
Construction du Nathex,
du cloître et de la bibliothèque

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Fondation d'Oklahoma

Fondation d'Oklahoma

En 1872 la communauté entend l'appel du pape à implanter la vie monastique hors de France, ce sera le monastère du Sacré-Cœur en Oklahoma. Viendront ensuite Niño Dios en Argentine et en Terre sainte Abu-Gosh et le Mont des Oliviers.

 


Légende de la photo : Father Isidore, osb. Comanche Indian Missionary 127 Anarko, Caddo Co, Okla

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Fondation d'Oklahoma Fondation d'Oklahoma

 
Sacred Heart en territoire indien,
Oklahoma, USA

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Buckfast, Angleterre

 





Buckfast,
Angleterre

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Exil à Kain-la-tombe, Belgique

 





Deuxième expulsion. Transfert de la communauté à Kain-la-Tombe, Belgique.

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Fondation d'Oklahoma

Fondation de Dalat, Viêt Nam

Dès le début de sa vie monastique le père Placide de Roton avait un grand souci missionnaire. Il poussa le père abbé Fulbert à envoyer des frères fonder au Viêt Nam. La fondation est confiée au père Romain Guillauma, prieur de la Pierre-qui-Vire, qui avait déjà construit l'école. Avec un compagnon, il va en 1937 à Dalat puis en 1940 à Thiên-An près de Hué, et jouera un rôle important dans le pays, sous l'occupation japonaise puis dans les conflits ultérieurs. Des renforts viennent de France après la guerre. Le monastère fonda Thiên-Hoa en 1962, Thiên-Binh en 1970 et Thiên-Phuoc en 1972. Ces communautés ont actuellement plus de soixante frères chacune.

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Tien-An, Viet Nam

 





Thiên-An,
Viêt Nam

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Refondation de St Benoît sur Loire

 





Refondation de Saint-Benoît-sur-Loire

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Kep, Cambodge

Kep, Cambodge

Comme celle du Viêt Nam, l'Eglise du Cambodge désirait une présence monastique. Quatre frères furent envoyés. Ils s'installent à Kep sur la côte sud.
Ce monastère sera détruit lors de la guerre de 1975.

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Mahitsy, Madagascar

Mahitsy, Madagascar

A la demande de l'Eglise locale, le monastère fut fondé au nord de Tananarive par des frères de la Pierre-qui-Vire. Il est indépendant depuis l'an 2000.

Mahitsy, Madagascar
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La Bouenza, Congo Brazzaville

La fermeture de l'école de la Pierre-qui-Vire fut l'occasion de répondre à la demande de l'Eglise du Congo. Six frères sont envoyés et s'installent dans une ancienne mission des pères spiritains. Le frère Dominique initia la fabrication de médicaments, ce qui fut le début d'un véritable préparatoire de médicaments très appréciés. A cause de la guerre civile le monastère fut fermé en 1998. En 2008 l'abbé président de la Congrégation, le père Bruno Marin, nomma le père Christophe Mouhingou supérieur. La communauté fut érigée en monastère indépendant en 2011.

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Chauveroche, Territoire de Belfort

 





Chauveroche, Territoire de Belfort

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Réouverture de la Bouenza

 
Réouverture de la
Bouenza

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1965. La réforme liturgique.

Après la fin du concile, les décrets d'application invitaient les religieux à un examen soigneux de tous les aspects de leur vie, pour les réviser à la lumière des dispositions conciliaires. Vu l'importance considérable de la Liturgie des heures et de l'Eucharistie dans les monastères, la mise en œuvre de ces aspects liturgiques de l'œuvre de réforme demandée par le concile Vatican II demanda beaucoup de réflexion et de travail. Ce grand chantier fut mené en concertation avec l'ensemble des monastères, mais pour la Pierre-qui-Vire spécialement avec les monastères qui adoptèrent la liturgie en français et notamment avec la Commission Francophone Cistercienne (CFC) l'organisme mis en place par l'ordre cistercien de la stricte observance (Trappistes) pour cette œuvre de réforme. De là a émergé peu à peu un ensemble d'éléments permettant de célébrer la liturgie dans ces communautés. Tout en prenant appui sur une connaissance profonde de la tradition liturgique, des auteurs - souvent moines et moniales - travaillèrent ensemble à la composition de nouvelles hymnes ou antiennes, et surtout à la recherche de nouvelles manières de célébrer l'office.

Ce travail commun a été une source profonde de connaissance mutuelle et de communion entre les communautés, bien au-delà des appartenances à telle ou telle famille monastique.

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1965. Début des rencontres œcuméniques.

L'invitation conciliaire à la recherche œcuménique s'est concrétisée à la Pierre-qui-Vire en fonction des circonstances : des frères ayant étudié à Lausanne ont contacté des pasteurs et des étudiants du canton de Vaud, et les relations ont ainsi pu se mettre en place. Un frère a fait partie du Groupe des Dombes, d'autres ont participé à des rencontres internationales comme Kairê.

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Dialogue interreligieux

La présence de nos frères en Asie, Viêt Nam et Cambodge notamment, conduisit à des contacts avec des moines bouddhistes dès les années qui suivirent le concile Vatican II. Plus tard la proximité d'un monastère tibétain, en Saône-et-Loire, a permis d'approfondir ces rencontres, en particulier le jour même de la rencontre d'Assise en octobre 1986. C'est dans ces expériences que s'enracine notre participation à la section française du DIM (Dialogue Interreligieux Monastique).

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